Double Culture

Cinq photographies issues de la presse sur lesquelles Gaston Kelman a écrit un texte, servent de trame à cette histoire contemporaine. Cinq photographies pour cinq volontés d’expressions : de la rencontre danse-voix, musique-voix, texte-musique, danse-écrit s’organisent en atelier avec l’envie qu’aucune forme ne prime sur l’autre. Du texte aux gestes, du son aux mots, « Double Culture » s’organise dans une expression sensible : ni théâtre, ni danse, ni musique et tout cela à la fois.
d’après l’adaptation du texte : « Je suis noir et je n’aime pas le manioc » de Gaston Kelman (édition 10/18) 
mise en scène : Danielle Gabou, Alain Casari 
comédienne, danseuse : Danielle Gabou 
musique : Mathieu Chamagne, Daniel Koskowitz 
lumières : Aurélie Bernard 
costumes : Cathy Roule 
écriture chorégraphique, collaboration : Nathalie d’Auzon 
en coproduction avec : le CCAM-scène nationale de Vandoeuvre 
avec le soutien de : la DRAC-Lorraine, le CDN-Théâtre de la Manufacture

– « Double culture »
Festival Musique Action
Jeudi 25 Mai 2006 à 19 H 00
 – Salle des fêtes
Vendredi 26 Mai 2006 à 19 H 00 
– Hublot

stage : « Initiation aux procédés interactifs multimédias et leurs applications dans le spectacle vivant » février 2006

– stage : « Initiation aux procédés interactifs multimédias et leurs applications dans le spectacle vivant »
dates : du 3 au 5 février 2006
Le but de ce stage est de présenter et mettre en pratique différents outils mettant en œuvre des procédés interactifs ayant attrait à la manipulation en temps réel de sons, de données et d’images. 

plus d’infos

Double Box

« Double Box » 

d’après « Paroles de détenus » (Jean-Pierre Gueno)
Mise en scène de Danièle Gabou et Alain Casari (cie sans sommeil) 
Musique : Mathieu Chamagne 

Qu’est-ce que l’enfermement ? Une angoisse intime, un sentiment universel. Observons l’individu en captivité, afin d’être à l’écoute de ses manques, de ses peurs, de ses luttes. Regardons son corps bouger, dire, vivre dans l’enfermement. Attardons-nous sur ses cris et ses silences pour en extraire la liberté.